Pick A Star On The Dark Horizon

On parle beaucoup des criminels et quelle peine ils méritent, mais ceux qui sont victimes de crimes le punition sont aussi important. Dans un article de “Tvärsnitt” no 2 2010, Ann Heberein met en question la signfication de la punition pour la victime: Quel est le plus important pour les victimes vengeance ou obtenir réparation?

Il y a des théories different qui parlent pourquoi on doit punir ceux qui commettent des infractions à la loi. La théorie préventive veut décourager les criminels de la criminalité tandis que la théorie rétributive veut que le coupable expiera sa crime pour restaurer la balance contre le délinquant et la victime/la société. Généralement, les théories rétributives prennent la point de vue de la victime, alors on estime que la victime sans aucune doute se sent mieux quand on s’est vengé du coupable.

Mais Heberein demande si prendre vengance est le plus important pour la victime et quand on fait une médiation, est-il vraiment l’interêt de la victime qui est l’intention principale?

Quand quelqu’un a été victime d’une violation, l’aggresseur lui donne un message qu’elle est un objet sans volonté, valeur et droits.

La blessure de moralement, ce qu’elle peut être influencée par l’aggresseur et elle commence de penser qu’elle est d’un valeur moins que les autres.

D’après l’idéologie réparative doit le conflit rester chez ceux qui l’appartiennent, ca veut dire, la vitime et le coupable. La pensée principale est de mettre la victime et son besoin au centre. Une médiation entre la victime et le délinquant est essentielle dans l’idéologie pour obtenir reparation. Par des rencontres et des conversasions, on obteint l’intimité qu’est la condition préalable pour guérir. Cette intimité est vue comme un remède contre la délinquance.

En 1997 BRÅ(le conseil préventif du délit) a fait une expérience pilote de médiation par l'ordre du gouvernement suèdois. Une année après, on a constaté que médiation est un soulution convenable, particuilèrement pour les jeunes coupables. On trouve que médiation diminue le risque qu’ils récidiveront. Le resultat de l’expériance pilote confirme que médiation peut aider le coupable, mais encore une fois on a oublié la victime. Son rôle a l’air d’être seulement un moyen du délinquant. Ann Heberein pense qu’on doit réfléchir sur le motif de médiation, quand la victime doit penser à soi-même, mais en réalité elle se trouve souvant obligé de participer si on la demande. Heberein croit qu’on s’attend à la victime d’avoir compréhension et même pardonner le coupable. Il fonde sur l’idée que la victime a obtenu des nouvelles connaissances de la vie, en raison de la violation, et qu’elle s’est devenue un humain bon et plein de gratitude. Ann Heberein la trouve absurde. La victime peut se sentir offensé de participer à médiation, quand elle n’est pas autorisé à s’exprimer ses vrais sentiments. Annalise Acorn, professeur de droit, qui a été un porte-parole de la médiation et l’idéologie réparative, a peur qu’on commencera fermer les yeux sur injuctice et cruauté. En raison du seul fait qu’on veut avoir une fin heureuse. Acorn pense que les attentes sur la victime de médiation sont déraisonables et que l’idéologie réparative a presque oublié la punktion. Au lieu de la punation on parle de pénitence et compensation dans une termiologie qu’est presque religeuse.

Elle partage la point de vue de Acorn, plutôt que la peine a une fonction très important, même pour la victime ou les survivants de la victime. Heberein ne pense pas que le coupable paie de la principe de vengance, mais elle pense qu’on doit changer la système de justice et premettre la victime de donner libre cours à ses emotions. Le principal de la puniation, selon elle, ce que même la victime et le coupable obtiennent réparation. Le coupable, quand il est trouvé responsable de ses actions défectueuses, et la victime, par le condamnation de l’inculpé elle s’est confirmée d’avoir droits et valeur.